CRASH DE COTONOU :Après 10 ans, De qui se moque Darwich et son Omega Voyage ?

Le 25 décembre 2003, le Boeing 727 exploité par l’Union des Transports Africains (UTA), qui effectuait le vol GIH 141 Conakry-Cotonou-Beyrouth-Doubaï s’est écrasé au cours de son décollage de Cotonou. Il y’avait 160 personnes à bord, seules 22 ont survécus. Voila bientôt 10 ans que disparaissaient dans un tragique accident nos parents en partance pour DOUBAÏ, victimes du crash du Boeing de la compagnie UTA. Pendant tout le temps depuis cet accident, les victimes et parents très proches sont désorientés par le manque de soutien moral non seulement auprès de la compagnie UTA mais auprès du gouvernement d’alors et probablement de ce gouvernement actuel qui semble avoir d’autres chats prioritaires à fouetter. Les victimes outrées par le comportement de la compagnie UTA qui semblerait cautionné le refus des assureurs de prendre en charge la garantie de l’accident et l’indemnisation des ayants droits des victimes. Un accord secret aurait été signé entre la compagnie UTA et la compagnie d’assurance en vertu duquel la dite compagnie exonère purement et simplement les assureurs de toutes les charges et garanties de cet accident. Il ressort de nos enquêtes une clause de confidentialité ,la compagnie du remboursement intégral de son aéronef à concurrence de Cinquante Millions de Dollars(50 000 000 US ) qui était assuré pour cet montant, alors que les ayants droit des victimes sont à orphelinat double : Orphelin du crash et du gouvernement d’alors. -Le refus du gouvernement d’alors d’assister les victimes n’avait rien de surprenant vu les conditions dans lesquelles ce vol a quitté la capitale Conakry. Selon le rapport du bureau d’enquête et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile -L’embarquement des passagers et le chargement des bagages s’étaient faits dans une grande confusion. -L’avion était plein, dans le poste de pilotage, deux(2) responsables de l’UTA (compagnie) occupaient les sièges du service. L’enquête a également mis en évidence -Les graves insuffisances de compétence, d’organisation et de documentation réglementaire de l’exploitant qui ne lui avaient permis ni d’organiser correctement l’exploitation de la ligne ni de contrôler le chargement de l’avion. -Le non recours par l’exploitant à Conakry et Cotonou, à des sociétés de service pour la fourniture de l’état de chargement de l’avion. -L’heure particulièrement chaude choisie pour le départ du vol. -Ce n’est pas tout nous y reviendront amplement avec la liste intégrale des victimes et d’autres pièces à conviction de cet crash du 25 décembre 2003 du Boeing 727. Le patron de cette compagnie et patron de la nouvelle agence de voyage dénommée OMEGA VOYAGE interdit de séjour dans son pays natal le Liban par un jugement le condamnant à 20 ans de travaux forcés suite à la disparition de certains libanais dans ce crash fait de belles manières sa vie à Conakry devant les yeux impuissants des parents des victimes et victimes directes. Nous reviendrons amplement avec la liste des victimes et autres pièces à conviction sur cette affaire de crash de 2003 situant ainsi les responsabilités des uns et des autres. Sidimé Alpha Kabinet Directeur de Publication E-mail : actuconakry@gmail.com

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