La Commission électorale
indépendante doit obligatoirement apporter des corrections de toute urgente au
système de recensement en cours sur toute l’étendue du territoire national
guinéen.
A l’entame déjà de ces
opérations dites révision du fichier électoral, ce système, tel que conçu et entrain
d’être exécuté créé les conditions d’un véritable hold-up et autres
tripatouillages à ciel ouvert.
Si ce n’est des machines
en panne, ce sont des fiches d’inscription ou récépissé qui manquent ou des
agents recenseurs qui abandonnent pour faute de paiement de primes.
A cette allure, la CENI fonctionne, apparemment, sans aucun souci de transparence et d’équité. En tout cas, c’est le sentiment général qui se dégage et sur toute l’étendue du territoire national.