En prélude de l’élection du président de la chambre Nationale de commerce, des élections communales se poursuivent pour élire le nouveau patron de cette boite tant convoitée.
Cependant, dans le gouvernorat de Conakry, un acte peu catholique s’est produit a en croire nos sources bien informées dans les 5 communes.
Après la commune de Kaloum où les ayants droits ont échappés à la candidature et les votants sont importés d’autres communes, le dernier cas qui semble l’imité est la commune de Matoto.
Dans cette commune, rien ne va plus entre les différentes équipes des candidats et les autorités communales.
Les autorités communales sont accusées d’être à la solde d’un candidat appelé Sidiki Nabé qui aurait joué sur leur conscience par des gestes mercantilistes.
Dans le brouhaha à matoto, un responsable de la commune disait : même si Sorel Doumbouya est soutenu quelconque, s’il ne nous a pas vus ici, il perdra le contrôle de matoto.
Voici la belle phrase qui a créé tous les problèmes dans cette commune ce vendredi,
C’est ainsi que le principe de vote violé depuis l’entame a été retenu, c’est-à-dire, pour voter, il faut avoir un registre de commerce.
Il faut rappeler que ce principe aussi élémentaire pour élire le président national de la chambre de commerce a été violé dans toutes les communes de Conakry et à l’intérieur du pays.
Les candidats en lice, profiteront-ils de cette eau trouble à matoto pour demander l’annulation des votes des communes où ce principe élémentaire n’a pas été respecté ?
On verra bien !
Alphonse Thea pour www.actuconakry.net
