Dans la société de transport dénommée Transport Urbain de Conakry, les problèmes des travailleurs sont multiples et gravissimes : pas d’embauches, heures de travail démesurées, absence d’immatriculation à la Caisse nationale de sécurité sociale, bulletins de salaires inexistants etc. Face à une telle situation de mal vivre, les travailleurs ont cru donc devoir s’organiser dans un proche avenir. Apprend-on de sources percutantes.
Ces employés vivent un
véritable enfer sous la gestion Turque. Ces
854 travailleurs issus des sociétés liquidées SOGUITRANS, SOTRAGUI sont
dans des conditions pénibles et sont obligés de travailler jusqu’à 18h par jour
sans supplément de salaire.
La nouvelle société ne fait aucun effort pour mettre ses employés dans de bonnes conditions, après une année d’installation .Informe notre source.
Selon la même source, aucun espace
de dialogue n’est envisagé entre employeurs et employés pour établir un
contract comme stipule la règle du jeu . Et le pire dans cette affaire, c’est
que la société Turque ne semble plus s’inquiéter des souffrances des employés
qui broient le calvaire au quotidien.
A la société Urbain Transport Albarayk et une année après leur installation, l’opinion s’étonne que les employés vivent un véritable calvaire à cause des conditions difficiles de travail, leur salaire « minable », les horaires chargés, absence d’un syndicat ,le silence coupable de l’inspection générale du travail. Comme pour dire que les nouveaux preneurs qui ne sont autres que les turcs sont libres de faire ce qu’ils veulent dans un pays où le code de travail est bafoué et relégué au dernier plan
A quand la fin du calvaire des employés de Transport Urbain?
Quand on ne connait pas la réponse à
une devinette donnée,on la donne au chat ! dit-on