« La Turquie finance Daech, le Qatar et l’Arabie Saoudite financent le Front Al Nosra »
Le retrait russe de Syrie est un revirement stratégique de taille du Kremlin. Il constitue bel et bien un revers pour Bachar al-Assad. Sur le plan militaire, l’armée syrienne aura sans doute beaucoup de mal à se passer du soutien de Moscou. Même si la Russie devrait maintenir sur place 800 soldats et a livré des équipements militaires à son allié, le retrait va malgré tout favoriser les différentes forces d’opposition.