La mauvaise gestion à la Sotragui a conduit l’éclatement de certaines familles : A qui la faute ?
On ne doit pas faire la gestion d’une entreprise étatique sous forme d’essai, disait un économiste. La conséquence d’une telle pratique serait catastrophique sur le plan social. Les travailleurs de la Sotragui sont aujourd’hui désemparés, ils ne supportent plus leurs familles, parce que tout seulement ils ont fait trois mois sans salaire.
Depuis la parution de notre précédent article au sujet même de la mauvaise gestion à la Sotragui. Cet articule a permis au bon nombre de sources à nous livré des nouveaux éléments de réponses, lesquelles citent le nom d’un haut cadre à la présidence, dont ce dernier serait en connivence tacite avec l’actuel Directeur général de la sotragui, Bocar Sidibé, « Ces deux cogèrent-ils ensemble cette société?,d’où partent les recettes générées par la société? cantonnent nos sources. »
Pour revenir sur ce nom dans le nouvel élément de notre enquête. Il est à rappeler qu’auparavant la Sotragui était gérée par les français. En ce temps tout allait normal. Et que les recettes rentraient sans défaut.
Mais des sources bien informées, révèlent que « Dr Mohamed Diané, directeur de cabinet à la présidence, aurait forcé la main d’Alpha condé pour que Bocar Sidibé soit nommé comme nouveau Directeur général de la Sotragui. » pour quel but ? Tout un contraste !
Concrètement voici un souhait de Dr Mohamed Diané qui a été plus tard réalisé par le président de la république, Alpha condé dans le but d’essayer la gestion des nationaux. Mais le résultat, tout-le-monde le connaît.
Personne ne sait d’où sont partis les trois milliaires de francs guinéens que l’Etat guinéen donnait à la Sotragui à chaque trois mois pour servir de subventions. Malgré la présence régulière de ces fonds au sein de la direction générale de la Sotragui, les bus ne subissaient pas de réparation adéquate.
La conséquence (…), c’est quand on se rend une fois dans la cour de la Sotragui, on observe en plein air les bus immobilisés, qui sont devenus des objets de contemplation, en même temps des jouets pour les enfants du milieu.
Dossier à suivre
Moussa Diabaté pour Actuconakry.com
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