LONAGUI : Calvaire d’une société d’Etat sur fond de bafouement de directives du Chef de l’Etat (Par Ibrahima Sory KEÏTA)
La Loterie Nationale de Guinée (LONAGUI) a fait l’objet de refondation depuis la série de décrets ayant débuté le 26 mai 2016, ce qui devait se traduire par la fin des errements du passé préjudiciables à une bonne évolution de la société. Force est cependant de constater qu’il n’en est malheureusement rien, et pire, les profondes divergences qui étaient exposées en interne, au sens large du terme, c’est-à-dire y compris auprès de la hiérarchie, sont portées actuellement devant les médias : sorties du Directeur Général contre des « collaborateurs » sur fond de détournement de grosses sommes d’argent, «tentative de fuite en France d’un Cadre poursuivi en justice» sur fond d’actions financières frauduleuses, irruption de Gendarmes à la LONAGUI, accusation de gestion opaque et familiale : tous ces thèmes font les choux gras de différents médias.
Dès lors, la morale recommande, pour cette entreprise publique dont le débat est ainsi porté devant le public, de s’engager dans un devoir d’éclairage, d’autant plus qu’il est dit que la refondation opérée à la LONAGUI, servant ainsi de pionnière, doit être menée dans d’autres entreprises du secteur public n’étant pas organisées dans cette même configuration, d’où un tel devoir d’éclairage pourrait contribuer à cerner les éventuels correctifs à apporter au modèle à généraliser.
A propos de la refondation
Depuis juin 2012, la LONAGUI était dirigée par un Administrateur Général nommé par décret, secondé par un Directeur Général Adjoint (DGA et non Administrateur Général Adjoint) non nommé par décret. De ce fait, l’Administrateur Général avait à lui seul les pouvoirs les plus étendus : signature, mouvements de fonds, prise de décisions, etc. En réalité, dans une telle configuration, il appartient au Dirigeant nommé de mettre en place un fonctionnement conforme aux normes d’un Etat de droit et à la vision du Président de la République, et non à un système de pouvoir absolu. Il en est donc résulté des errements, d’où la refondation de la LONAGUI par décret du 26 mai 2016 qui abroge la fonction d’Administrateur Général et dote la LONAGUI de statuts fondant sa nouvelle existence à travers une société anonyme à actionnaire unique qu’est l’Etat.Par ailleurs, ces statuts prévoient d’une part, un Conseil d’Administration (CA) dont les Membres (ils sont 9)ont été nommés par décret du 9 juin 2016 et ont voix au chapitre dans la nomination de la Direction Générale, et d’autre part une Direction Générale justement dont le Directeur Général (DG) a été nommé par décret du 10 octobre 2016 : il s’agit de l’Administrateur Général qui officiait avant l’intervention de l’abrogation. Telle est donc la refondation de la LONAGUI dont les différentes composantes (Statuts, Conseil d’Administration, Direction Générale) sont conçues pour baliser le fonctionnement de la société dans le sillon de la gestion inclusive, concertée et respectueuse des normes statutaires.
Le grand écart : retour à la case départ !
Désillusion pourrait être le maître mot caractérisant la situation actuelle de la LONAGUI, car depuis la mise en place des nouveaux organes (Statuts, Conseil d’Administration et Directeur Général), rien n’a changé. On sait en effet que lorsqu’un nouveau Pouvoir arrive, dans le cadre d’une Nation, il est jugé sur une période pratiquement conventionnelle des 100 premiers jours où les grands chantiers sont annoncés et/ou amorcés, ce nouveau Pouvoir bénéficiant d’un état de grâce dans cette période, s’il vient d’arriver aux affaires, et n’en bénéficiant généralement pas s’il a rempilé. A l’échelle d’une entreprise, et pour une Direction qui a été reconduite, ce délai de 100 jours pour une Nation, peut raisonnablement être fixé à 30 jours, soit 1 mois, pour annoncer et/ou amorcer les grands chantiers, surtout qu’on est censé les connaitre. Or, on en est à environ 6 mois depuis l’installation solennelle du Conseil d’Administration le 18 juillet 2016 (sa nomination a eu lieu le 26 mai 2016), et on rentre dans le3emois depuis la nomination du Directeur Général le 10 octobre 2016 ! Et rien, toujours rien n’est ni amorcé, ni annoncé alors que le Chef de l’Etat a mis en place une nouvelle LONAGUI pour qu’on évolue différemment de l’ancienne LONAGUI dans un cadre déterminé par les nouveaux Statuts ! On est donc dans une situation de véritable déni des directives du Chef de l’Etat, et on continue dans la gestion solitaire, personnelle, familiale ainsi que dans l’opacité financière, cela malgré l’existence d’un Conseil d’Administration ! Cela est d’autant plus grave que nous sommes une entreprise d’Etat, c’est-à-dire un démembrement de l’Etat, et ne serait-ce qu’à ce titre, on devrait appliquer les directives du Chef de l’Etat conformes à la vision du développement du Président de la République pour son pays. En effet, dans l’organisation politique d’une Nation, le Chef de l’Etat est, en dernière instance, le patron des entreprises d’Etat dont il nomme les dirigeants. Pour mieux percevoir la force de cette relation fusionnelle, il faut savoir qu’un Président de la République n’est pas forcément le Chef de l’Etat : par exemple, en Israël ou en Allemagne, les Présidents de ces 2 Nations ne sont pas Chefs de l’Etat incarnés respectivement par un Premier Ministre et une Chancelière. Il apparait donc très grave d’ignorer délibérément les directives de son patron en dernière instance, c’est-à-dire du Chef de l’Etat, d’autant plus que le Président de la République disait à juste raison qu’il n’a pas hérité d’un Etat, d’où il convient pour une entreprise d’Etat de contribuer chaque jour davantage à l’édification et à la consolidation de l’Etat, en commençant par mettre en œuvre les caractéristiques de base de son fonctionnement.
Directives du Chef de l’Etat bafouées à la LONAGUI
On peut citer un certain nombre de ces directives faisant cruellement défaut à la LONAGUI, alors qu’on ne peut même pas avoir l’excuse de l’ignorance puisque le Chef de l’Etat, d’une part,les définit et demande de les appliquer, et d’autre part prêche d’exemple dans leur mise en œuvre :
La concertation dans le travail : le communiqué du Conseil des Ministres du 24 octobre 2016 mentionne notamment que le Président de la République, d’une part, «a rappelé aux membres du Gouvernement la nécessité de tenir régulièrement des conseils de cabinet et de maintenir une collaboration étroite avec les cadres de leurs départements», et d’autre part, leur «a demandé de mener des consultations systématiques avant la prise de décisions dont les conséquences sont susceptibles d’impacter une frange de la population. A ce titre, le Chef de l’Etat a invité les Ministres à mieux communiquer sur leurs activités». On peut tout d’abord remarquer que le Président de la République «a rappelé» ces directives, ce qui signifie que ce sont des modes de fonctionnement inhérentsà l’exercice de responsabilités dans un cadre républicain. Ensuite, si l’on transpose cette instruction dans notre LONAGUI, démembrement de l’Etat, cela signifie que la Direction doit travailler en concertation avec ses Cadres notamment.Travailler dans la concertation implique aussi que les employés soient libres de s’exprimer, ce qui a pour corollaire un cadre approprié pour défendre leurs droits, mais aussi pour être instruits sur leurs devoirs, d’où un syndicat à mettre en place. Or, ce n’est pas le cas à la LONAGUI où règne le pouvoir personnel, où tout est cloisonné, où la délation est de mise si des employés se concertent, où des employés sont mis en isolement, c’est-à-dire sont victimes de «bore-out», pratique au demeurant interdite par la Loi.
L’évolution des salaires : Il y a là un contraste saisissant avec l’Etat, car le Chef de l’Etat augmente, de façon dynamique dans le temps, les salaires des Fonctionnaires et on en est depuis le mois de novembre 2016 à une nouvelle grille de salaires se traduisant par une nouvelle augmentation de salaires de ces Fonctionnaires. Au contraire, à la LONAGUI, les salaires sont bloqués depuis 4 ans, et aucune justification économique ne permet d’expliquer ce blocage, sinon une volonté délibérée résultant du fait du prince. Pour preuve, il n’existe pas de grille de salaires obéissant aux normes établies, c’est-à-dire une grille de salaires avec définition des postes, les salaires correspondant ainsi aux postes et n’étant plus alloués à la tête de l’employé.
La priorisationdu courrier électronique dans les correspondances dans une entreprise publique : c’est une autre directive du Chef de l’Etat lors d’un Conseil des Ministres qui n’est pas appliquée à la LONAGUI, et pour cause, on n’a même pas de mails professionnels. On est donc dans l’illégalité la plus totale et pour s’en convaincre, on peut faire l’illustration à travers le cas des mails d’Hillary Clinton qui ont contribué à lui faire perdre la présidentielle américaine lorsque cette affaire de mails a été relancée par le FBI, comme elle l’a affirmé elle-même. Il suffit de voir les critiques, à juste raison, contre Mme Clinton, accusée d’utiliser son mail personnel dans le cadre de ses fonctions officielles : c’est anormal car toutes les opérations menées avec son mail personnel, dans un cadre professionnel, constituent normalement des outils de travail →or, personne ne peut en disposer si Mme Clinton n’est plus à son poste, car tout cela figure dans son mail personnel. C’est dangereux par ailleurs une telle utilisation, car elle travaille sur des informations secrètes, de haute confidentialité alors que son mail personnel n’est pas sécurisé, en tout cas certainement pas comme sont sécurisés les mails professionnels, d’où possibilité de piratage, d’espionnage. Pour la LONAGUI donc, l’utilisation de mails personnels dans le cadre professionnel pose les mêmes problèmes : ce sont des outils de travail devant être disponibles pour la société, et ils doivent en plus être sécurisés → d’où nécessité impérative de mails professionnels et de connexion wifi à installer, et non ces systèmes de clés Internet posant des problèmes de connexion et par ricochet des pertes de temps inestimables.
Laformation des employés : Malgré l’appel du Chef de l’Etat dans ce sens, au niveau national, aucune formation spécifique à la LONAGUI pour les employés !Alors que, par exemple, des programmes deformations adaptées aux différents postes peuvent être mis en place ainsi qu’un système de perfectionnement permanent.Au total, on a donc du mal à croire qu’on est toujours dans le mode de fonctionnement décrié et abrogé, alors qu’il y a notamment un CA constituant un des rouages d’une gestion exemplaire.
Le Conseil d’Administration : négligence, complaisance ou incompétence ?
Dans un Conseil d’Administration, l’élément moteur est constitué par le Président de ce Conseil, car les différents membres d’un Conseil d’Administration sont généralement en exercice par ailleurs, d’où la vitalité d’un Conseil d’Administration incombe en grande partie à son Président qui recueille ainsi quasiment tous les éloges si cela va bien, mais de façon symétrique, cristallise quasiment toutes les critiques en cas de mal gouvernance, et je sais bien de quoi je parle, ayant déjà été membre d’un Conseil d’Administration. De ce fait, il peut être admis qu’une analyse concernant un Conseil d’Administration ne soit pas systématiquement globalisante à tous ses membres. Le Conseil d’Administration (*) de la LONAGUI se situe dans cette configuration et on peut s’étonner qu’il laisse perdurer le mode de fonctionnement dont le bannissement fonde pourtant son existence en tant que CA. Cette instance considère-t-elle par exemple que le Président de la République n’a nommé qu’un Directeur Général et non un couple Directeur Général/Directeur Général Adjoint, d’où il y a un blanc-seing pour le Directeur Général, d’où il faut le laisser faire comme il l’entend ! On ne doit pas penser ainsi car le Chef de l’Etat a aussi mis en place des Statuts et un Conseil d’Administration. Les 3 décrets du Chef de l’Etat (26 mai/9 juin/10 octobre 2016) ne sont donc pas une carte de menus où on peut prendre les menus qui nous conviennent et laisser tomber les autres →ces 3 décrets ne sont même pas «du tout ou rien», c’est «du tout et absolument tout». Il apparait ainsi que même si le Président de la République n’a nommé qu’un DG, et non un diptyque DG/DGA comme il le fait d’habitude, car la nomination d’un DGA est aussi du ressort de la Présidence tutrice après avis du CA, il n’en demeure pas moins que le Président de la République est dans la cohérence du bannissement de la gestion solitaire et autoritaire à travers la mise en place de Statuts et du CA. Qui peut en effet imaginer un seul instant le Président de la République dans la posture de cache-cache faisant qu’il abroge une fonction d’Administrateur Général tout puissant, qu’il mette en place des Statuts définissant les règles de fonctionnement, qu’il nomme un CA pour notamment garantir ces Statuts et mettre fin au pouvoir solitaire d’avant, ainsi que ses errements préjudiciables →qui peut alors imaginer que le Président de la République signe un dernier décret de nomination d’un DG pour revenir à l’ancien système abrogé, comme si les 2 premiers décrets étaient de la poudre aux yeux !En réalité, c’est dès le début que le CA (*) a fait preuve au mieux de négligence : Incapacité de s’impliquer activement dans la gestion LONAGUI pendant la période intérimaire, comme cela se fait normalement lorsqu’une direction est abrogée et ne devant donc qu’expédier les affaires courantes→au contraire, le Conseil d’Administration a laissé l’ancienne direction évoluer, avec son mode de fonctionnement banni, comme si de rien n’était /Absence d’audit financier devant faire ressortir l’état financier dont la nouvelle entité juridique devait hériter /Inexistence de communication avec l’ensemble du Personnel LONAGUI pour définir leur mission (celle du CA) ne serait-ce que pendant la période intérimaire (période avant nomination d’une nouvelle direction), les modalités de mise en œuvre de celle-ci, leursattentes par rapport au Personnel, les objectifs recherchés, les délais envisagés pour l’atteinte de ces objectifs, etc. /Incapacité, à ce jour, de me faire rembourser la somme de 451.500 FG que j’avais avancée le 16 août 2016 pour la production de documents financiers notamment (reproduction, reliure) pour eux Conseil d’Administration et sur leur demande, car l’Administrateur Général abrogé, d’une part, arguait de panne de machine à la comptabilité pour sortir de tels documents, et d’autre part a refusé de me rembourser ! /Signature par le Président du CA d’une lettre de licenciement d’un Cadre, lettre enfreignant notamment les clauses statutaires ! /Voyage au Maroc du Président du Conseil d’Administration, au sein d’une mission LONAGUI conduite en septembre 2016 par l’Administrateur Général abrogé, alors que la nomination d’une nouvelle direction, dans laquelle le Conseil d’Administration avait voix au chapitre, n’était pas encore intervenue →voyage de nature à jeter un trouble ! /Etc. Pourtant, le Conseil d’Administration avait été amplement alerté du retour à la case départ qu’empruntait le cheminement actuel de la LONAGUI, malgré sa refondation, et je fais partie de ces lanceurs d’alertes. J’avais aussi informé le Conseil d’Administration de mon engagement dans cette logique d’explications devant le Public, dès lors que la voie a déjà été ouverte dans la saisine des médias, comme souligné ci-dessus. Il s’agit ainsi, face aux différentes sorties médiatiques ci-dessus mentionnées, d’exprimer le devoir absolu de respecter les instructions du Chef de l’Etat à travers ses 3 décrets concernant la LONAGUI, mais aussi exprimer une volonté farouche de dénoncer toute démarche contraire, c’est-à-dire tout dévoiement des instructions du Chef de l’Etat.
Casser la baraque pour la reconstruire autrement
Dans une de ses récentes sorties médiatiques ayant trait à la LONAGUI, le Directeur Général a dit, je le cite : «Je ne suis pas venu en Guinée pour regarder les bateaux au port ni pour m’amuser». C’est une phrase de grande portée dans laquelle je m’identifie et qui confère une lourde responsabilité à ceux qu’on a fait venir de l’étranger, en l’occurrence la France pour ce qui le concerne, et pour ce qui me concerne aussi, pour servir notre pays. Il y a là une double responsabilité : tout d’abord un devoir de réussite professionnelle qui incombe à tout employé engagé dans une œuvre professionnelle et recherchant la réussite de celle-ci, ensuite une obligation d’exemplarité pesant sur les épaules de celles et ceux qui ont l’honneur d’avoir été appelés pour servir leur pays et qui ont en plus la particularité d’avoir servi (et servent encore) le parti au pouvoir ayant relayé la vision du Président de la République, vision approuvée par le peuple de Guinée. De telles personnes ainsi choisies doivent pouvoir s’engager totalement pour mettre en application cette vision dont elles sont censées être bien imprégnées, au bénéfice du peuple de Guinée, en ne visant que les intérêts du peuple et non les siens personnels, au besoin en cassant la baraque pour la reconstruire autrement, comme l’avait proclamé le Responsable politique Français, François Fillon, lors de la Primaire de la Droite en France, qui l’a conforté dans cette démarche le 27 novembre 2016. Au demeurant, il me semble que c’est cette démarche qui avait été appliquée en juin 2012 lorsque l’ensemble de la direction LONAGUI avait été congédié pour confier les destinées de cette entreprise à un Administrateur Général. Il me semble encore que c’est cette démarche qui a été appliquée en refondant la LONAGUI depuis le 1er décret du 26 mai 2016, c’est-à-dire en cassant ou abrogeant l’ancienne structure, et en la bâtissant sur de nouvelles fondations constituées notamment par des Statuts et un Conseil d’Administration.La baraque étant cassée, les fondations étant posées, il y a manifestement 2 compréhensions différentes sur la voie de la reconstruction qui a pourtant été clairement indiquée. On comprend alors mieux ce devoir d’éclairage au service d’une vision, basé sur une profonde conviction forgée depuis mes responsabilités de première heure de Secrétaire Général de la Sous-section du Grand Dakar et en même temps de Secrétaire aux Relations extérieures de la Section RPG Sénégal (qui couvrait en outre la Mauritanie, la Gambie et le Cap-Vert), en passant par les responsabilités de Secrétaire Général Adjoint, puis de Secrétaire Général de la Section RPG/AEC France.
Conviction : déterminant du refus de compromission au détriment de la LONAGUI
En exemplifiant à nouveau par cet événement politique qu’était la Primaire de la Droite en France, la candidate Nathalie Kosciusko-Morizet, à l’issue du 1er tour, a déclaréqu’elle n’est pas à la recherche de poste, mais dans la défense de ses convictions, d’où son soutien au candidat le moins bien placé. C’est une belle démonstration de conviction, d’où quand on est dans la conviction, aucune embûche ne peut empêcher l’engagement dans la défense de la vision et des directives du Chef de l’Etat pour la LONAGUI : ni le confinement dans un bureau dont le délabrement de la peinture est un facteur de maladie respiratoire, ni la mise à l’écart dans la gestion et les missions à l’étranger, ni le refus de fournitures en cartouches d’imprimante, ni la rupture d’alimentation Internet, etc. Dans les sorties médiatiques ci-dessus évoquées, le problème de détournement de fonds apparait, d’où nous y reviendrons dans le prochain article, élément constitutif d’une série d’articles déjà prêts et positionnés en Guinée, au Sénégal et en France, car les faiblesses de l’Etre humain sont telles qu’il pourrait ne pas être en capacité de les publier lui-même.
Ibrahima Sory KEÏTA
Directeur Général Adjoint LONAGUI d’avant refondation.
(*) : Analyse non globalisante à l’ensemble des membres du CA