Les rançonnements des conducteurs de véhicules, des motards,des arrestations arbitraires et parfois des bastonnades sont entre autres le sport favori de certains éléments de la Police routière tant à l’intérieur du pays que dans la capitale Conakry. Cette forme d’incivisme sur la route est connue de tout usager des bretelles et des routes de la Guinée et surtout la haute sphère de la police nationale. A conakry,c’est la panique totale, sapeurs pompiers, bénévoles, faux policiers sont déversés dans la rue dont le seul but serait de remplir leur poche en rançonnant les taximètres et autres usagers de la route. Malgré le cri de détresse lancé, certains individus non recensés, non immatriculés appelés faux policiers continuent à squatter les carrefours de la capitale grâce à la bénédiction de certains vrais agents immatriculés généralement de grade capitaine, lieutenant etc…qui font le semblant de réguler la circulation. (pure démagogie cantonne un avocat pris au carrefour écobank près le ciber Mouna). A enco5,à Enta ,matoto,kaloum,«Les policiers nous rançonnent sans pitié. Ils nous arrêtent sous prétexte de vérifier les documents. Il y a assez de tracasserie»ils sont la seule source des embouteillages à Conakry a témoigné un conducteur. Sur les artères de Conakry, les conducteurs qui s’opposent à donner de l’argent se voient au prochain arrêt immobilisé, quelquefois même les pneus sont dégonflés, selon des témoins. Face à cette délinquance routière et le silence des commissaires centraux chargés de la circulation routière, il ne serait pas abusif de croire à un deal entre ces faux policiers qui rançonnent et certains chefs hiérarchiques de la police routière dans les cinq communes de la capitale. A la question de savoir le pourquoi tant de convoitise pour la route ? Certains sous couvert de l’anonymat n’ont pas tardé à déploré leurs conditions de travail .Il nous faut «un peu d’argent pour assurer la survie en attendant notre arrêté d’engagement. L’autre mal est qu’ils sont habillés en tenue de police,gradés(comme ce cas sur cette photo à Kaloum),mais recensés nulle part,en clair des faux policiers au détriment du guinéen déjà meurtri. La police routière ne serait elle pas synonyme de la corruption ostentatoire en Guinée ? A quand la fermeté sera de rigueur à la police routière de Guinée ? L’œil de www.actuconakry.com]]>
C’est vraiment du ranconnement