La Démocratie ne fait absolument pas partie de la culture générale de certains opposants Guinéens
La Politique ne peut plus rester ‘’affaire’’ de quelques enfants gâtés, qui se comportent à l’âge adulte, comme les petits caïds des quartiers de leurs enfances. Un proverbe très populaire nous apprend pourtant la modestie, depuis la petite enfance, en nous signifiant clairement qu’un fils (ou une fille), a parfaitement le droit de se comporter au sein de sa famille (biologique) comme le plus beau et le plus intelligent… ; mais, sorti de sa tribu… , ça fourmille partout de gens beaucoup plus ‘’merveilleux’’ !
Comment, peut-on se croire infaillible ou exceptionnel, jusqu’à oser menacer tout un pays, peuplé de citoyens libres… ? La féodalité, avec ses sujets, est dépassée : Sékou Touré ayant ‘’balayé’’, et mis fin à ce temps où ma propre famille possédait ce que j’appellerai pudiquement nos travailleurs volontaires ; Ce débat est d’actualité, puisque remis en force sur le tapis par l’ancien Président WADE, qui vient de préciser haut et fort, que l’esclavage au XXIème siècle, n’était pas d’actualité uniquement en Mauritanie, n’en déplaise à ceux qui avaient vitupéré contre le frère Mansour Kaba, ancien Ministre qui invitait en 2014 certains compatriotes guinéens,subtilement bornés, à suivre nos exemples, puisque nous sommes les progressistes qui avaient accepté depuis les années cinquante (au moins), de ne plus maintenir nos semblables dans des systèmes de castes, voire d’esclavage. J’y reviendrai inch’Allah !
Notre opposition radicale, non contente d’utiliser la politique comme un vulgaire espace de promotions personnelles, pousse plus loin le bouchon en niant les actions concrètes de l’Intègre Président Alpha Condé, dans ses initiatives salutaires d’une démocratisation incontestable de la Guinée ! Démocratisation qui a pourtant ouvert, grâce aux législatives de 2013, un boulevard aux opposants, vers cette Assemblée Nationale, dont certains pseudos-parlementaires, sont plus préoccupés à ourdir des complots(sous la férule de mentors en fuite comme Bah Oury (ou BaidiAribot), tous ‘’conseillés’’ par quelques activistes de’’ Pöttal’’ (Sadio Barry et d’autres, qui raffolent de pseudos sur le Net…, pseudos qui ne trompent personne)), qu’à siéger patriotiquement pour gérer démocratiquement les multiples problèmes du pays qui les nourrit si grassement, que leurs privilèges devraient les rendre plus discrets, voire honteux et confus.
Comment ose-t-on parler de dictature ces temps-ci, dans un pays où :
1-Le CSM (Conseil Supérieur de la Magistrature), est déjà en place depuis 2014 et il contribue avec acharnement(avec le Ministère de la Justice et toutes les compétences nationales et internationales), à mettre en place dans les jours prochains :
2-Une Cour Constitutionnelle ;
3-Une Cour des Comptes ;
4-Une Cour Suprême rénovée, puisque l’actuelle fonctionne sur la loi fondamentale de 1990, en désuétude depuis 2010, ce qui nécessite des amendements ;
5-Une Institution Nationale Indépendante des Droits Humains (également déjà en place) ;
6-La HAC (Haute Autorité de la Communication), ‘’très récente’’ ;
7-Le Médiateur de la République qui vient de prêter serment ;
8 – Etc. J’y reviendrai inch’Allah.
Si la mauvaise foi de nos guerriers en herbe (également apprentis sorciers), pouvait produire de l’électricité, je crois bien qu’on en fournirait abondamment à tout le continent africain.
Cissé Oumar de Bma