De nos jours, la dégradation avancée des routes préfectorales ne fait que s’empirer, plongeant ainsi les usagers dans un calvaire infernal, surtout en cette fin de saison des pluies. Cette situation, qui n’honore pas notre pays, mérite une attention particulière de la part de nos autorités au plus haut sommet.


Difficile aujourd’hui de circuler sur les routes préfectorales en raison de l’état de dégradation très avancée des routes.Notamment celle de Kerouané-Kankan ou Kerouané –Beyla . A constaté sur place notre correspondant régional.
À cette allure, certains tronçons risquent de ne plus être praticables dans quelques mois. Même les chauffeurs de taxis, dont les engins résistent parfois aux nids de poules, ne pourront y avoir accès.(Images)


Sur ces tronçons, l’on constate aisément l’absence de l’Etat et de son contrôle sur ces axes : Kérouané-Kankan,Kérouané-Beyla .



L’axe Kankan-Kérouané distant de 154 Km que l’on pouvait circuler en une heure d’horloge est, de nos jours, rendu impraticable à cause de l’état défectueux qui fait le malheur de tous ses usagers. Puisqu’il faut 9 heurs de véhicule pour joindre les deux préfectures ou 7 heures si l’est dans une grosse cylindrée 4X4.


En outre, ces nombreuses rues ont déjà commencé à être envahies par des eaux de ruissellement. Cette situation favorise tout naturellement leur dégradation. Certes, le ministère en charge des travaux publics est en train de déployer de gros efforts pour résoudre ces problèmes identiques dans la capitale guinéenne, mais cela reste insuffisant et très insuffisant, car, certains axes sont toujours dans un état très déplorable.

[…] Axe Kérouané-Kankan : Un véritable calvaire pour les usagers (Photos illustratives) […]
[…] Axe Kérouané-Kankan : Un véritable calvaire pour les usagers (Photos illustratives) […]