Carla Bruni s’est laissée aller à quelques confidences dans les colonnes du Parisien. Sa naissance issue d’une liaison extraconjugale de sa mère, la drogue, ses enfants, son mari et sa véritable nature, l’ancienne première dame de France sort de sa réserve.
« Je ne sais pas d’où vient mon besoin dévorant de reconnaissance. Je crois que c’est parce que je suis une bâtarde », lance-t-elle en évoquant l’adultère de sa mère dont elle est issue. « Sinon, je ne me cognerais pas tout cela. C’est comme s’il y avait une inconsistance de ce que je suis, une incertitude d’être vivante qui me pousse à m’exposer. C’est une partie de moi un peu pourrie, seule ou infantile qui a besoin de cela ».
Mais la chanteuse insiste, c’est le travail et l’acharnement qui l’ont poussée sur le devant de la scène. « Je n’ai pas le droit de le dire, mais j’ai beaucoup ramé », dit-elle. « Je suis toujours allée chercher le travail. Si je n’écrivais pas, on ne me ferait pas de chansons. Même comme mannequin, certaines filles ont été découvertes et propulsées en une de Vogue. Moi, j’ai mis douze ans à y être ».
Les pétards, ce serait la honte
Carla Bruni aborde également le sujet sensible de la drogue. Interrogée sur sa façon de tenir le coup sur scène alors qu’elle avoue elle-même être une grande timide, la chanteuse affirme que le temps des « pétards » est bien terminé. « À 47 ans, les pétards, comme vous dites, ce serait la honte. J’ai un fils de 13 ans et même la cigarette, j’essaie d’éviter ».
Pour conclure, l’épouse de Nicolas Sarkozy se confie sur sa véritable nature. « Je suis complètement bourgeoise et énergumène. Complètement foutraque aussi. Les gens me prennent pour quelqu’un de très contrôlé, de calme. Mais ça finira par se voir ».
avec 7sur7
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