Football Guinéen : Et le Judas d’en remettre une louche de trop d’apatridie (Opinion)
C’est le geste de trop d’un désespéré, et probablement de quelqu’un qui souffre de schizophrénie ! Le commun des mortels, y aurait trouvé un sens s’il venait d’un mauvais perdant qui était à son premier essai, qui aurait juré de laver un affront quelconque, mais lorsqu’il est celui d’un multirécidiviste dont la rage de vengeance est sans limite, et qui, au gré de ses nombreux actes de félonie contre son propre pays, l’histoire récente du football guinéen, en est pavés, s’est révélé à l’opinion comme un grand apatride, cela n’étonne et ne doit étonner guère.
Si le Molosse peut se départir de sa façon éhontée de s’assoir, lui aussi en ferait autant un jour. Mais puisque le Molosse ne changera jamais sa façon de s’assoir, il n’y a rien à espérer d’un impénitent rabat-joie !
Salif Camara Super V, puisque c’est de lui qu’il s’agit, après toutes tentatives nocives de faire capoter le dernier congrès électif à la Fédération Guinéenne de Football, parce que le cœur empli de haine contre un seul homme qui pourtant, des années durant, a été tout pour lui, est allé désespérément déposer un torchon de plainte qui n’a aucune once de chance de prospérer, à l’effet de faire invalider une élection qui s’est déroulée en toute transparence.
Les résultats validés, par des experts assermentés venus de la CAF et de la FIFA, ont attesté du caractère sérieux et impartial, imprimé à tout le processus, en amont et en aval.
En allant devant le TAS, parce que souffrant de voir son successeur prendre un élan prometteur d’une véritable Perestroïka du football guinéen, parce que ne pouvant plus contenir sa haine viscérale débordante contre celui-ci, M. Mamadou Antonio Souaré en l’occurrence, celui qui l’a coiffé au poteau en le battant à plates coutures, lui infligeant une humiliation sans commune mesure, Salif Super V, misanthrope devant l’Eternel, vivant depuis toujours en réclusion, coupé de la société, ne recherche qu’un seul objectif sordide, voué d’emblée à l’échec, celui de faire invalider l’élection du nouveau comité exécutif, et ainsi provoquer une nouvelle crise, comme lui seul en sait créer, pour finalement ramener tout le football guinéen dans l’abysse d’une nouvelle suspension.
Par son obstination et sa boulimie du pouvoir, on s’en souviendra pour toujours, Salifou a fait suspendre en 2001 la Guinée par la Fifa, privant ainsi le pays d’une finale de la CAN des juniors ainsi que d’une phase finale historique au mondial de la catégorie.
Levons nous et arrêtons ce solitaire dans son envie folle de voir le football guinéen en berne comme l’a-t-il fait, quand il quittait les commandes.
Ibrahima Sory Cissé